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PETIT THÉÂTRE
TARIFS MARTO
45 minutes
PLACEMENT LIBRE

Pour la famille
Dès 10 ans

Spectacle en ukrainien surtitré en français

Dans le cadre du festival MARTO avec le soutien spécifique de l’Onda – Office national de diffusion artistique

Texte d’Oleg Mykhaylov, avec la participation de Kostyantyn Soloveyenko
Mise en scène : Oksana Dmitrieva
Scénographie : Konstantin Zorkin
Musique : Kateryna Palachova
Création sonore : Andriy Tretyak
Lumières : Anna Sidorova
Avec : Anton Glazunov, Oleksandra Kolesnichenko, Victoria Mishchenko, Lilia Oseichuk et Oleksandra Shlykova
Manager : Olga Dorofeeva
Le spectacle a été créé avec le soutien du Goethe Institute et de la Maison Nuremberg à Kharkiv.

 

MARIONNETTE
ACADÉMIE DE THÉÂTRE DE MARIONNETTES V.A. AFANASYEV DE KHARKIV (UKRAINE)

Mons la girafe  

FESTIVAL MARTO

Jouer pour résister. L’Académie de Théâtre de marionnettes ukrainienne nous présente Mons la girafe, l’une de ses dernières créations. À travers le regard d’un enfant, nous suivons les aventures d’une petite girafe du zoo de Kharviv pendant la Seconde Guerre mondiale. 

24 février 2022. Au premier jour de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, des bombardements touchent l’Ecoparc Feldman de Kharkiv, provoquant la mort de nombreux animaux. En écho à ce drame, l’auteur Oleg Mykhaylov et la metteuse en scène Oksana Dmitrieva imaginent un conte à la fois tendre et puissant : l’histoire d’une amitié naissante entre une girafe et le médecin venu pour la soigner.

Brillamment interprétée par cinq jeunes comédiens/marionnettistes en langue ukrainienne surtitrée, Mons la girafe est une fable poétique, un spectacle plein d’espoir, qui engage avec sensibilité une conversation sur les solitudes insondables de la guerre.

Si c’est bien une histoire du siècle dernier qui nous est contée, le fait que ce spectacle a été créé à Kharkiv, récemment, par des artistes ukrainiens, le rend plus touchant encore. Plus actuel malheureusement. Sans jamais tomber dans la haine, la colère ou le pathos, le spectacle apporte une petite note de légèreté (…). Avec l’espoir en ligne de mire. L’Ardennais