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GRAND THÉÂTRE
TARIF A
3h30 (avec entracte)

Coproduction
Dès 15 ans

AUTOUR DU SPECTACLE

VEN. 6 FÉV.
19H | Un avant-spectacle sera donné dans le hall par les élèves du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Bourg-la-Reine / Sceaux.

SAM. 7 FÉV.
21H30 | Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation
>> En partenariat avec la revue Esprit
*** ATTENTION : la rencontre aura lieu le samedi 7 février au lieu du vendredi 6 février.

Conception, adaptation et mise en scène : Margaux Eskenazi
D’après l’œuvre d’Imre Kertész et les improvisations des interprètes
Basé sur des extraits des œuvres de Imre Kertész Être sans destin, Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas, Le Refus, Dossier K, Le Chercheur de traces et L’Holocauste comme culture. 
Traduction : Charles Zaremba et Natalia Zaremba-Huzsvai
Imre Kertész est représenté par L’ARCHE, agence théâtrale. www.arche-editeur.com. Textes disponibles dans leur intégralité aux éditions Actes Sud.

Dramaturgie : Guillaume Clayssen et Lazare Herson-Macarel
Conseiller historique : Nicolas Morzelle
Collaboration à la mise en scène : Chloé Bonifay et Tiphaine Rabaud-Fournier

Avec : Armelle Abibou, Michael Charny, Milena Csergo, Lazare Herson-Macarel, Kenza Laala, Raphaël Naasz

Guitare, chant et direction des chœurs : Malik Soarès

Scénographie : Sarah Barzic et Jean-Baptiste Bellon
Construction : Victor Veyron
Accessoires : Sarah Barzic
Costumes et assistanat à la scénographie : Loïse Beauseigneur
Création lumière : Marine Flores
Musiques originales : Antoine Prost et Malik Soarès
Son : Antoine Prost
Collaboration musicale et sonore : Camille Vitté
Création vidéo : Raphaël Naasz
Régie générale et son : William Leveugle
Régie générale de tournée et plateau : Thomas Mousseau-Fernandez
Régie lumière : Mona Marzaq
Régie son : Rose Bruneau
Typographie : Maxime Brossard
Administration et production : Emmanuelle Germon
Production : Pauline Delaplace
Diffusion et production : Gwenaëlle Leyssieux – Label Saison
Presse : Nathalie Gasser

Remerciements : Patricia Horvath, Mikos et Eva, Lucie Grunstein, Christophe Rauck, la Belle Troupe et l’équipe du Théâtre Nanterre-Amandiers, Amandine Bergé

Production : La Compagnie Nova
Co-production : Le Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – Centre Dramatique National, Les Gémeaux – Scène nationale de Sceaux, La rose des vents – Scène nationale de Lille Métropole – Villeneuve d’Ascq, le Théâtre Gérard Philippe, Saint-Denis – Centre Dramatique National, le Théâtre des Ilets, Montluçon – Centre Dramatique National, le Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine, le Théâtre des Quartiers d’Ivry – Centre Dramatique National du Val-de-Marne
Avec la participation artistique du Jeune théâtre national
Avec le soutien de l’Institut français de Hongrie, du Kristaly Szinter, Budapest, du Nouveau Théâtre Populaire, Fontaine Guérin, du Théâtre de la Tempête, Paris, du Moulin de l’Hydre, Saint-Pierre-d’Entremont, du Collectif 12, Mantes-la-Jolie, du Théâtre du Fil de l’Eau, Pantin, du Pavillon, Romainville, du Théâtre Nanterre-Amandiers, CDN, de la Fondation Vinci et de la Fondation de France

Création janvier 2026 à La rose des vents, scène nationale de Lille Métropole – Villeneuve d’Ascq

THéâTRE
Margaux Eskenazi

Kaddish, La Femme chauve en peignoir rouge

Sorti des camps de concentration d’Auschwitz, de Zeitz et de Buchenwald, l’auteur hongrois Imre Kertész a dédié sa vie à décrire ce qui « dépouille l’homme de sa personnalité et de son destin ». Son œuvre, brillamment mise en scène par Margaux Eskenazi, explore cette quête.

Après le triptyque Écrire en pays dominé développé de 2017 à 2022 avec Nous sommes de ceux qui disent non à l’ombre, Et le cœur fume encore et 1983, Margaux Eskenazi lance une nouvelle recherche autour de la littérature de Imre Kertész. Elle conçoit un dialogue permanent avec cet auteur dans un spectacle qui traverse le XXe siècle européen et se situe au carrefour de l’intime, du politique et du poétique pour penser notre présent.

[Au sujet de Kaddish, Mémoires – Volet 1] Avec ce nouveau spectacle remarquable, (…) Margaux Eskenazi parvient encore une fois à allier l’intime et le politique, la poésie et l’humour, les blessures du passé et la foi en l’avenir. Elle nous laisse dans l’attente du prochain opus de [ce] nouveau cycle sur l’identité et le judaïsme. Un Fauteuil pour l’orchestre